Scandale à la Star Academy : Lucie Bernardoni dévoile une arnaque éditoriale qui a floué des milliers de familles !

Elle pensait offrir des rêves aux enfants, elle a hérité d’un cauchemar. Lucie Bernardoni, coach vocale emblématique de la Star Academy, balance sans filtre sur une sombre affaire impliquant une maison d’édition. Entre promesses brisées, précommandes fantômes et colère légitime, plongée dans un scandale qui ébranle le monde de l’édition jeunesse.

Une révélation explosive sur Instagram

Ce mercredi 26 mars 2025, les abonnés de la star ont découvert un post vibrant d’indignation. « J’ai appris avec effroi », lance-t-elle d’emblée, dénonçant les pratiques de EDI’BOX. Cette société, chargée d’éditer sa collection de 12 albums inclusifs (livres illustrés + versions audio pour malvoyants), aurait « bafoué la confiance des clients » selon l’artiste. Les griefs ? Des livraisons jamais honorées, des silences radio, et un site officiel devenu miroir aux alouettes.

Le double piège : auteurs et clients pris en otage

Derrière les promesses d’« inclusion » et de « bonheur pour les enfants » se cacherait une réalité sordide. Non seulement les familles attendent toujours leurs commandes, mais les créateurs – dont Bernardoni – n’auraient perçu aucun droit d’auteur. Pire : les illustrateurs et techniciens du projet audio resteraient impayés. Un système qualifié de « scandaleux et inqualifiable » par la coach, déterminée à faire éclater la vérité.

La contre-attaque juridique se précise

La réponse de l’interprète ne s’est pas fait attendre : « Des poursuites judiciaires seront engagées », annonce-t-elle fermement. Son objectif ? Constituer un dossier solide avec les victimes pour traîner EDI’BOX devant les tribunaux. Un appel à témoignages a été lancé via une adresse mail dédiée, visant à « empêcher la récidive de telles pratiques ». Une démarche collective saluée par des centaines de commentaires sous sa publication.

Star Academy : quand le devoir d’exemplarité dépasse le petit écran

Ce coup de projecteur inattendu révèle le visage engagé de la pédagogue. Loin des caméras de TF1, Bernardoni prouve que sa vocation à « éduquer » et « protéger » ne s’arrête pas aux murs du château. Un combat qui pourrait inspirer d’autres personnalités médiatiques à user de leur notoriété contre les dérives entrepreneuriales.

 

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