Benoît, le maestro de « N’oubliez pas les paroles », face à ses limites : un défi inattendu

Depuis son arrivée fracassante dans l’émission N’oubliez pas les paroles, Benoît a enchaîné les records, devenant en un temps record le maestro le plus titré de l’histoire du jeu. Pourtant, lors du dernier épisode, il a surpris tout le monde en avouant à Nagui qu’il avait cessé de réviser. Une révélation qui pourrait bien changer la donne pour ses futurs adversaires. Mais que cache cette décision ? Plongeons dans les détails de cette histoire captivante.

Un parcours exceptionnel qui atteint ses limites

Avec plus de 600 000 euros de gains accumulés en un peu plus d’un mois, Benoît a détrôné des candidats légendaires comme Margaux et Louis Hexakil. Il détient désormais le record du plus grand nombre de victoires et de clochettes. Pourtant, lors de l’émission du 24 janvier, il a confié à Nagui que son stock de chansons commençait à s’épuiser. « Ça commence à être de plus en plus dur pour moi », a-t-il admis, laissant planer un doute sur sa capacité à continuer sur cette lancée.

La fin des révisions : une stratégie risquée ?

Alors que Nagui lui proposait de viser les 100 victoires, Benoît a révélé qu’il ne révisait plus de nouvelles chansons. « Je révise ce que je connais déjà, mais je n’en apprends pas de nouvelles », a-t-il expliqué. Une stratégie qui pourrait bien jouer en sa défaveur, car, comme il l’a souligné, il lui faut environ trois mois pour mémoriser parfaitement une nouvelle chanson. Cette annonce a redonné espoir aux candidats en coulisses, qui voient peut-être là une opportunité de le détrôner.

Un projet immobilier qui fait réagir

En dehors du jeu, Benoît a également partagé ses projets d’avenir avec Nagui. Il envisage d’investir ses gains dans l’immobilier, en achetant un appartement pour le louer. « Pour le louer à un étudiant pauvre ou à un intermittent du spectacle », a-t-il précisé, suscitant une réaction taquine de Nagui : « C’est moche. » Une remarque qui a visiblement refroidi Benoît, laissant planer le doute sur la concrétisation de ce projet.

Sources :

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