L’émission phare de CNews, L’Heure des Pros, a connu un épisode mouvementé ce mardi 11 février. À la tête du programme, Pascal Praud a dû prendre une décision radicale en évinçant un invité en plein direct. Retour sur une séquence marquante qui illustre une fois de plus le rythme effréné de cette émission.
Pascal Praud face à une contrainte inattendue
Cette nouvelle édition de L’Heure des Pros débutait avec un édito poignant sur la mort tragique de Louise, un sujet qui a mobilisé l’attention nationale. Accompagné d’une équipe de chroniqueurs prestigieux, dont Charlotte d’Ornellas, Thomas Bonnet et Gilbert Collard, l’animateur abordait également les derniers développements de l’enquête grâce aux précisions fournies par Sabrina Bierlein-Bouyer, journaliste spécialisée dans le service police-justice de CNews.
Le programme s’est ensuite orienté vers un débat sur une autre problématique sociétale : la violence grandissante dans le football amateur. Un sujet brûlant qui a animé les échanges entre les intervenants.
Ensuite, Pascal Praud recevait Maurice Berger, pédopsychiatre reconnu pour son ouvrage « Mineurs violents, État inconsistant : Pour une révolution pénale ». Les propos de l’invité ont captivé l’audience, au point que l’interview a pris plus de temps que prévu. « Passionnants », selon les propres mots de l’animateur, ces échanges ont contraint ce dernier à revoir son planning initial.
Une fin de programme chamboulée
À cause de ce dépassement de temps, Pascal Praud devait encore traiter un autre thème crucial : la mortalité routière. Un psychanalyste était programmé pour intervenir sur ce sujet via une visioconférence. Malheureusement, le retard accumulé rendait cet échange impossible dans le cadre de l’émission du jour.
Alors que l’animateur préparait l’audience à cette modification de programme, la régie bascula involontairement l’invité en visioconférence. Face à cette situation inattendue, Pascal Praud prit rapidement la parole pour expliquer la situation. Il présenta ses excuses à l’expert, lui indiquant qu’il serait possible de traiter ce sujet le lendemain.
L’invité, compréhensif, accepta cette décision sans broncher, évitant ainsi toute escalade dans une fin de programme déjà tendue. Une preuve supplémentaire que même dans les moments les plus stressants, la communication peut désamorcer les tensions.
