Dans une récente audience judiciaire, Stéphane Plaza, confronté à des accusations de violences conjugales, a partagé un moment sombre de sa vie, révélant une volonté d’en finir sur son balcon juste avant les fêtes de Noël.
Accusé de violences conjugales
Stéphane Plaza s’est trouvé devant le Tribunal judiciaire de Paris, accusé par deux ex-compagnes de violences physiques et psychologiques. Des accusations que l’animateur réfute vigoureusement. « Il n’y a pas eu de violences », a-t-il insisté, regardant l’assemblée droit dans les yeux, tout en exprimant son incompréhension face aux déclarations de ses accusatrices.
Les défis de la dyspraxie
Devant la cour, Plaza a également évoqué sa condition de dyspraxie, expliquant comment cela pourrait avoir influencé sa perception des événements. « Je suis dyspraxique », a-t-il partagé, détaillant comment cette condition l’a rendu maladroit au point de blesser involontairement des gens sans jamais les plaquer contre le mur comme il est accusé.
Un geste désespéré
L’affaire a eu un impact dévastateur sur Plaza, au point qu’il a envisagé de mettre fin à ses jours. Le 22 décembre, accablé par le poids des accusations, il a confessé être monté sur son balcon, prêt à sauter. « Je me suis dit si je saute, on va se dire que je suis coupable », a-t-il exprimé, soulignant l’immense pression qu’il ressentait.
J’affirme que les plaignantes mentent. Depuis que l’affaire est sortie, j’ai très mal à la poitrine. Le 22 décembre je suis sorti sur le balcon, je voulais en finir. Je me suis dit si je saute, on va se dire que je suis coupable, et je suis redescendu.
Stéphane Plaza— Cécile Ollivier (@cecileollivier) January 9, 2025
Conséquences professionnelles et personnelles
L’impact de l’affaire sur sa carrière a également été significatif. Plaza a mentionné avoir dû se retirer des Grosses Têtes sur RTL et avoir perdu des opportunités professionnelles, y compris un rôle dans un film Marvel, entraînant une baisse de ses revenus de 15 à 20%.