Arrêter de fumer

Arrêter de fumer sans recraquer :

Si la dépendance n’était que dans la tête, ce serait presque simple. Hélas ! elle est aussi physique. Alors, un trio de recettes : un léger apport en nicotine par le biais de patchs, une réflexion sur son addiction ou une vraie thérapie, parfois même un médicament plus sérieux.

Pas très jolis, mais en vente libre depuis peu, les patchs ont fait leurs preuves dans maints pays européens. Afin d’éviter de rester trop longtemps avec ce truc pas très gracieux collé à un endroit du corps que vous dénudez parfois, il faut demander conseil à votre médecin avant l’achat. Il connaît vos habitudes et votre état de santé. La fumeuse qui carbure à 3 paquets par jour n’a pas les mêmes besoins en nicotine que celle qui fume 4 cigarettes uniquement quand elle sort. Si l’idée d’affronter un médecin ne vous tente pas, parlez-en au pharmacien et, surtout, lisez attentivement les conseils du labo inscrits sur la boîte de patchs. Commencez par acheter de quoi suivre une cure de 2 mois : c’est suffisamment cher pour vous engager, et assez long pour avoir un effet. Ne sombrez pas dans l’excès d’en prendre pour 6 mois tout de suite : comme pour la salle de gym, la culpabilité n’a aucun effet. Si tous les abonnés en salle faisaient des abdos, il y a longtemps que ça se saurait !

Aux États-Unis, la vogue des thérapies comportementales bat son plein. Avec un principe simple. Vous notez vos habitudes dans un cahier. Dans la première colonne, vous indiquez le moment où vous fumez. Dans la deuxième, la circonstance : si c’est en détente, le soir, chez vous, ou au travail. Dans la troisième, vous pensez 3 secondes à ce que ça vous apporte. Vous pouvez, ainsi, étudier votre comportement, que vous vouliez freiner votre appétit ou encore supporter un petit chef hurlant. Vous découvrirez comment anticiper l’envie de fumer ou de manger. Si vous n’y arrivez pas seule, contactez l’Association française des thérapies comportementales et cognitives (100, rue de la Santé, 75674 Paris Cedex 14) ou Tabac Info Service au 0803 309 310, ils vous orienteront.

Quant aux cas plus lourds, décelables en cas d’échec des deux premiers volets, il sera indispensable pour eux de consulter un médecin qui pourra les aider différemment. Car voir la vie en noir dès qu’on arrête de fumer, se mettre à craindre des choses que l’on se croyait capable de surmonter, c’est parfois une indication pour un léger antidépresseur. Alors, retour à la case médicale. Pour une écoute, un traitement et la réussite au bout du chemin.

La fatigue, le mal de dos, la migraine sont des douleurs fréquentes et qui gâchent la vie. Pourtant, il est possible de les combattre en suivant ces quelques conseils.
Etre en pleine forme c’est d’abord bien dormir et ne pas se laisser grignoter par le stress. Et si vous preniez un cours de zen ?

Malgré une bonne hygiène de vie, vous pouvez toujours être touchée par une maladie grave comme le cancer, ou plus bénigne, comme la grippe. Il faut réagir efficacement. Toutes les méthodes sont bonnes à explorer : aux États-Unis le rire est utilisé comme thérapie.
Voici quelques clés qui vous permettront de bien choisir votre médecin, ainsi qu’une information sur les médicaments génériques et le calendrier de vaccination.

Arrêter de fumer

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